qui,que,quoi,dont ....où?

Rue d'Ancin

Belle photo, Maître Budoc! Mais vous constaterez qu'il y a plusieurs portes sur cette photo.

Or, me lavar ha lavaro, il n'y a aucune porte dans la rue nantaise qui est le sujet de l'énigme...

Alors, je serai bon et généreux en vous donnant un second indice... Les cloches de Saint - Nicolas sonneront la gloire de celui qui trouvera la solution...

Il y a toujours une adresse dans les rues que j'ai cherchées, il y a donc des portes...
Si ça tombe, elle n'est même pas sur les plans (insinuation malveillante, hé! hé! hé!)
Bon, c'est l'heure du thé, j'y vais...

J'ai beau chercher... pas trouvé !
Cher Jordi, le surnom de père Fouras te guette !!!

La bonté jordienne étant quasiment inépuisable, voici un troisième indice:c'est entre la Place Royale et l'église Saint - Nicolas...

Plus d'indice maintenant! je vous ai pratiquement donné la réponse...

La rue du Commandant Boulay? (mais au n°2, il y a un coiffeur... donc une porte...)

Eh non! C'est bien rue du Commandant Boulay (à peine une quinzaine de mètres de long), mais il n'y a pas de porte dans cette rue...

Ceci dit, bravo et à toi de trouver une autre énigme

Elle est terrible cette Danièle!!!

S'il y a un coiffeur, il a donc un "pas de porte"
s'il a un "pas de porte" c'est qu'il y a une porte

Vous avez dit "Boulay" ?



Ceci dit (bel abbess) bravo Danièle !

Le coiffeur en question, c'est un salon Jean-Louis David (pub gratuite!). Il donne comme adresse Place Royale- 2, rue du Commandant Boulay...
J'ai trouvé une vue de la rue: il n'y a pas de portes, mais il y a des vitrines, des deux côtés!
Elle m'a donné du mal, celle-là, moi qui ne connaîs pas Nantes (mais j'ai un neveu qui connaît, sa compagne est nantaise!)

Bravo Danièle !

OUPSSSSS!!!voilà,ce qu'il ne fallait pas faire!
Tonton Jordi ne va plus revenir

Tu riGOLES

Qui? Où?

Il me semble bien que c'est le premier procès du capitaine Dreyfus...

http://judaisme.sdv.fr/perso/dreyfus/affaire.htm

Pour info, RAK REKA (nom de la revue) veut dire: "Une minute, svp!" en hébreu.

Ça n'a rien à voir, mais merci à vous, Seigneur Gradlon, d'avoir noté la faute grave d'Eithne (diplomatique, dirais - je) relativement aux quatre affreux personnages osant profaner, par leur présence abominable, le saint nom de la Ville de Nantes...

Mais la jeunesse est toujours excusable... Il y a encore des gens qui croient me faire plaisir en me disant: "Vous qui êtes Breton, vous devez bien connaître Botrel et Bécassine..."

OK, sire Jordi , il s'agit bien du procès du capitaine Dreyfus, celui qui eut lieu en 1899, après son "séjour" à l'île du Diable (et qui confirma sa culpabilité, malgrè toutes les preuves du contraire), mais vous ne m'avez pas dit où... dans l'autre capitale bretonne... hé! hé!
Bon, ça va de nouveau être à vous... Pas trop dure, SVP!

Le Conseil de Guerre a abouti à la condamnation injuste et non fondée juridiquement du capitaine Dreyfus. Mais il y a eu DEUX procès, le premier en 1894 (à Paris, il me semble, de mémoire - ça remonte au temps du lycée...) et le second qui a eu lieu effectivement à Rennes fin 1899 où il a été condamné à 10 ans de réclusion.

Vous voudrez bien me pardonner d'avoir été un peu long mais cette affaire a toujours été très importante pour moi depuis très longtemps et pour des tas de raisons...

Pour la petite histoire, il faut se souvenir qu'à son retour du bagne, Dreyfus a débarqué à Port - Haliguen (presqu'île de Quiberon) où une plaque perpétue son souvenir...

Donc, c'est à moi, Dame Danièle???

GNARK! GNARK! Laissez - moi réfléchir pour vous en trouver une bien bonne de derrière les fagots...

Je suis trop bon et trop gentil (que voulez - vous? je vieillis... ), donc celle - ci n'est pas trop difficile...

Quel artisan de Laval a donné son nom (ou plutôt son surnom) à un groupe de partisans?
Je ne vous donne quand même pas la date; ce serait trop facile...

Jean Fouquet , le meunier des trois moulins

" Homme de bien qui avoit déplaisir de ce que les Angloys estoient devenus seigneurs et maistres en icelle ville » de Laval, Jean Fouquet favorisa, en cachant leurs hommes dans les Trois-Moulins dont il était meunier, l'entreprise de Jean de Villiers, Jean de Champchevrier, Raoul du Bouchet et Bertrand de la Ferrière, le 25 septembre 1429, jour de la Saint Firmin, et contribua ainsi pour sa part à l'expulsion des Anglais. Un quai de Laval entre les deux ponts porte son nom."

Je reconnais bien là l'érudition budoquienne, inégalable et inégalée... Mais ce n'est pas ça quant à l'époque des "évènements" (comme on disait en Pays Franc entre 1954 et 1962... ).

Alors, comme il est de coutume, un premier indice: nous sommes bien à Laval, ce n'est pas la bonne époque, et l'artisan en question n'était pas meunier... je dirais, d'une certaine manière, qu'il prenait son pied...

Quelque chose à voir avec "Le Piéton de l'air" d'Ionesco?

C'était un cordonnier?

Non, Seigneur Gradlon, ça n'a que peu de choses à voir avec l'oeuvre du grand Eugène, si ce n'est que le labyrinthe de la pensée du personnage qu'il vous faut trouver devait être tumultueux...

Dame Danièle, est - ce un effet ,de votre génie naturel et de votre perspicacité typiquement féminine? Car vous êtes sur la bonne voie... bien que le personnage recherché ne soit pas exactement un cordonnier...

Un bottier?